I. Le sol, un milieu propice
II. Des êtres vivants interdépendants et actifs
II. Des êtres vivants interdépendants et actifs
I. Le sol, un milieu propice
b. les animaux
a. les végétaux
II. Origine de la matière produite (besoins et échanges) chez ...
b. les animaux
a. les végétaux
I. La croissance chez ...
III. Réseaux alimentaires
b. les animaux
a. les végétaux
I. La croissance chez ...
III. Réseaux alimentaires
b. les animaux
a. les végétaux
II. Origine de la matière produite (besoins et échanges) chez ...
III. Réseaux alimentaires
b. les animaux
a. les végétaux
II. Origine de la matière produite (besoins et échanges) chez ...
b. les animaux
a. les végétaux
I. La croissance chez ...
b. les animaux
a. les végétaux
I. Stades de développement chez ...
c. les hommes
b. les animaux
a. les végétaux
II. Aptes à se reproduire
c. les hommes
b. les animaux
a. les végétaux
II. Aptes à se reproduire
b. les animaux
a. les végétaux
I. Stades de développement chez ...
III. Un caractère commun à tous les êtres vivants
Les élèves disposent individuellement d’une fiche à compléter sur laquelle figurent 8 exercices répartis en 4 niveaux de difficulté croissante.
Il est possible de passer un niveau uniquement si le niveau précédent est atteint. Dans le cas contraire, après avoir compris leurs erreurs (en demandant au professeur notamment), les élèves réalisent le deuxième exercice du même niveau (voir fiche exercice).
Il est possible de s’autocorriger dès qu’un exercice est fini et ainsi s’évaluer, en notant le score réalisé à chaque exercice.
Il est possible de passer un niveau uniquement si le niveau précédent est atteint. Dans le cas contraire, après avoir compris leurs erreurs (en demandant au professeur notamment), les élèves réalisent le deuxième exercice du même niveau (voir fiche exercice).
Il est possible de s’autocorriger dès qu’un exercice est fini et ainsi s’évaluer, en notant le score réalisé à chaque exercice.
II. La classification des êtres vivants
I. Une biodiversité riche et proche
IV. Histoire de la vie et évolution
Les élèves disposent individuellement d’une fiche à compléter sur laquelle figurent 8 exercices répartis en 4 niveaux de difficulté croissante.
Il est possible de passer un niveau uniquement si le niveau précédent est atteint. Dans le cas contraire, après avoir compris leurs erreurs (en demandant au professeur notamment), les élèves réalisent le deuxième exercice du même niveau (voir fiche exercice).
Il est possible de s’autocorriger dès qu’un exercice est fini et ainsi s’évaluer, en notant le score réalisé à chaque exercice.
Il est possible de passer un niveau uniquement si le niveau précédent est atteint. Dans le cas contraire, après avoir compris leurs erreurs (en demandant au professeur notamment), les élèves réalisent le deuxième exercice du même niveau (voir fiche exercice).
Il est possible de s’autocorriger dès qu’un exercice est fini et ainsi s’évaluer, en notant le score réalisé à chaque exercice.
II. La classification des êtres vivants
I. Une biodiversité riche et proche
IV. Histoire de la vie et évolution
III. Un caractère commun à tous les êtres vivants
I. Une biodiversité riche et proche
IV. Histoire de la vie et évolution
III. Un caractère commun à tous les êtres vivants
II. La classification des êtres vivants
V. Sécurité
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
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teaser.fr/ mzirnheld/japon/divers/fuseo.htm
ericabgrall.chez.com/fusee/plande.htm
cjh.polyplex.org/rockets/
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et.byu.edu/ wheeler/benchtop
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VI. Aller plus loin
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
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VI. Aller plus loin
V. Sécurité
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
La toile scoute
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VI. Aller plus loin
V. Sécurité
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
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VI. Aller plus loin
V. Sécurité
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
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VI. Aller plus loin
V. Sécurité
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
La toile scoute
Collège René Cassin
Initiatives
fusees.free.fr
fuzeao.free.fr
fuseao.wordpress.com
alain.juge.pagesperso-orange.fr
perso.numericable.fr/fbouquetbe63/gomars
teaser.fr/ mzirnheld/japon/divers/fuseo.htm
ericabgrall.chez.com/fusee/plande.htm
cjh.polyplex.org/rockets/
h2orocket.com
et.byu.edu/ wheeler/benchtop
Collège René Cassin
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VI. Aller plus loin
V. Sécurité
Pour le lancement de la fusée à eau, il faut :
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
- Une pompe de vélo (un modèle à pied, avec un manomètre) ;
- Une rampe de lancement (pour contrôler l’instant et la direction du décollage).
Une rampe de lancement simple consiste en la mise en place d’une tige métallique dans le sol. Un morceau de paille fixée le long du corps de la fusée lui permet de rester en position verticale pendant l’accélération, avant que les ailerons soient efficaces.
Après avoir rempli le réservoir d’un tiers d’eau, inséré le bouchon et mis la fusée sur sa rampe, il ne vous reste plus qu’à pomper jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la bouteille devienne suffisante pour faire partir le bouchon : la pression est telle, que le bouchon est éjecté avec la masse d’eau contenue dans la bouteille.
Le manomètre de la pompe vous permettra de vous rendre compte de la pression dans la bouteille : on atteint sans difficulté les 5 bars !
Il est conseillé de prendre quelques précautions si vous tentez de passer les 5 bars de pression : en effet, l’éclatement d’une bouteille peut se révéler dangereux.
IV. Mise en place pour le lancement
Il faut trouver un système permettant une mise sous pression.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
Un bouchon s’ajustant en force au diamètre de la bouteille, et une valve de vélo que l’on insère dans le bouchon de manière étanche, constituent le système le plus simple.
Pour le bouchon, le liège peut convenir, mais les bouchons tronconiques en caoutchouc utilisés en chimie sont idéaux.
Pour la valve, une aiguille de gonflage des ballons peut être facilement insérée dans le bouchon.
III. Bouchon de gonflage
Il y a plusieurs solutions pour fixer des ailerons sur le corps de la fusée.
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
La plus simple consiste à découper la partie cylindrique de la seconde bouteille, et de la placer à l’arrière de la fusée pour y fixer les ailerons. Sinon, les ailerons doivent suivre la forme du réservoir.
Il ne reste plus qu’à scotcher ou coller (néoprène, pistolet à colle), sans abîmer le réservoir (attention si vous utilisez de la colle chaude).
II. Assemblage des ailerons au réservoir
Le corps de la fusée est une bouteille de boisson gazeuse (en PET).
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
C’est le réservoir d’eau et d’air sous pression, et la tuyère du propulseur.
Vous pouvez ajouter des ailerons et une ogive pour rendre la trajectoire plus stable.
Les ailerons sont en balsa (bois léger), en carton fort ou en plastique.
Pour l’ogive, on peut découper le haut d’une seconde bouteille (avec un cutter ou des bons ciseaux).
N’oubliez pas de décorer la fusée ou d’y apporter une touche personnelle
I. Éléments constituant la fusée à eau
Voir l'animation L'énergie sur http://www.cea.fr/multimedia/Pages/animations/energies/quiz-energie.aspx
I. Sources et besoin en énergie
II. Conversion énergétique
II. Conversion énergétique
Voir l'animation L'énergie sur http://www.cea.fr/multimedia/Pages/animations/energies/quiz-energie.aspx
I. Sources et besoin en énergie
II. Séparation des constituants d'un mélange hétérogène
I. Définition et différents types de mélanges
III. Séparation des constituants d'un mélange homogène
I. Définition et différents types de mélanges
III. Séparation des constituants d'un mélange homogène
II. Séparation des constituants d'un mélange hétérogène
I. Définition et différents types de mélanges
IV. Façonnage et valorisation des matériaux
III. Caractériser et identifier les grandes familles de matériaux
25 méthodes pour purifier l'eau
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
2. Produits chimiques
3. Filtration
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
4. L'oxydation
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
- la séparation,
- la filtration,
- les produits chimiques,
- l'oxydation.
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
- les particules,
- les bactéries,
- les minéraux,
- les produits chimiques et
- les produits pharmaceutiques.
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
- La sédimentation dépose par gravitation les matériaux lourds en suspension.
- L'eau bouillante pendant 15 à 20 minutes tue 99,9% de tous les êtres vivants et vaporise la plupart des produits chimiques. Les minéraux, les métaux, les solides et la contamination provenant du récipient de cuisson deviennent plus concentrés.
- La distillation bout et recondense l'eau, mais beaucoup de produits chimiques se vaporisent et se recondensent en concentration dans l'eau de sortie. Il est également coûteux de faire bouillir et refroidir l'eau.
- La lumière ultraviolette est un bon bactéricide, mais il n'a pas d'effet résiduel et ne fonctionne que dans l'eau filtrée. Encore à ses débuts, une nouvelle technologie impliquant une lumière super blanche.
2. Produits chimiques
- Le CHLORE est commun, bon marché, mais extrêmement toxique. Il ne diminue pas la contamination physique ou chimique, il augmente les formations de cholesterol, il est cancérigène et cause des maladies cardiaques.
- Le BROME, utilisé dans les piscines et les spas, n'a pas d'odeur ou de goût aussi mauvais et ne tue pas très bien les bactéries.
- L'IODE n'est pas pratique et est surtout utilisé par les campeurs.
- Le PEROXYDE D'HYDROGENE tue les bactéries avec de l'oxygène. Il est fabriqué chimiquement et est très toxique. Il est utilisé en cas d'urgence.
- L'argent est un bactéricide efficace mais un poison cumulatif qui se concentre et ne s'évapore pas.
- Les ACIDES ORGANIQUES NON TOXIQUES doivent être utilisés avec prudence dans les grandes usines aquatiques seulement.
- LIQUEURS ET AGENTS ALCALINS DOUXdevrait également être utilisé avec prudence seulement par les grandes usines d'eau, ou seulement pour la lessive.
- LES PRODUITS CHIMIQUES NEUTRALISANTS réagissent avec les produits chimiques indésirables et produisent des exsudats et un sédiment, mais les niveaux de besoins varient.
- La COAGULATION-FLOCCULATION ajoute des produits chimiques qui regroupent les particules en suspension pour la filtration ou la séparation.
- L'ECHANGE D'IONS échange le sodium du sel contre le calcium ou le magnésium, en utilisant de la glauconite (greensand), des résines organiques synthétiques précipitées ou de la zéolite gélifiée, ramollissant ainsi l'eau. Les minéraux, les métaux, les produits chimiques ou les odeurs ne sont pas affectés et l'eau est salée à boire.
3. Filtration
- Le filtre LENT à SABLE de 1 mètre cube passe environ 2 litres / min, et fait une élimination limitée des bactéries.
- Le SABLE DE PRESSION de 1 mètre cube passe environ 40gpm et doit être lavé tous les jours.
- La FILTRATION sur DIATOMEES élimine les petites particules en suspension à des débits élevés, doit être lavé à contre-courant tous les jours et coûte cher.
- Les filtres en PIERRE POREUSE / CÉRAMIQUE sont petits mais coûteux et n'influent pas sur les produits chimiques, les bactéries ou les odeurs.
- Les filtres PAPIER ou CHIFFONS sont jetables et filtrent à un micron, mais n'ont pas beaucoup de capacité.
- Le CHARBON :
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
- L'OSMOSE INVERSE utilise une membrane avec des trous microscopiques qui nécessitent 4 à 8 fois le volume d'eau traité pour le laver afin d'éliminer les minéraux et le sel, mais pas nécessairement les produits chimiques et les bactéries.
- Les ENZYMES et les BACTÉRIES combinées peuvent éliminer les contaminants, réduire les boues et même digérer l'huile. Voir l'article récent surenzymes et bactéries .
- Les PLANTES Il existe de nombreuses plantes, animaux et organismes qui filtrent efficacement l'eau.
4. L'oxydation
- L'AERATION pulvérise de l'eau dans l'air pour augmenter la teneur en oxygène, décompose les odeurs et équilibre les gaz dissous. Cependant, cela prend de l'espace, est coûteux et ramasse les contaminants de l'air.
- L'OZONE est un très bon bactéricide, utilisant des molécules d'oxygène hautement chargées pour tuer les microorganismes au contact, et pour oxyder et floculer le fer, le manganèse et d'autres minéraux dissous pour la post-filtration et le rétrolavage.
- La PURIFICATION ÉLECTRONIQUE et la PRODUCTION D'OXYGÈNE DISSOUS créent une eau super oxygénée à l'état dissous qui abaisse la tension superficielle de l'eau et traite efficacement les trois types de contamination : physique, chimique et biologique.
II. Les grandes familles de matériaux
I. Description de la matière
V. Caractérisation de la matière
III. Caractériser et identifier les grandes familles de matériaux
25 méthodes pour purifier l'eau
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
2. Produits chimiques
3. Filtration
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
4. L'oxydation
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
- la séparation,
- la filtration,
- les produits chimiques,
- l'oxydation.
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
- les particules,
- les bactéries,
- les minéraux,
- les produits chimiques et
- les produits pharmaceutiques.
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
- La sédimentation dépose par gravitation les matériaux lourds en suspension.
- L'eau bouillante pendant 15 à 20 minutes tue 99,9% de tous les êtres vivants et vaporise la plupart des produits chimiques. Les minéraux, les métaux, les solides et la contamination provenant du récipient de cuisson deviennent plus concentrés.
- La distillation bout et recondense l'eau, mais beaucoup de produits chimiques se vaporisent et se recondensent en concentration dans l'eau de sortie. Il est également coûteux de faire bouillir et refroidir l'eau.
- La lumière ultraviolette est un bon bactéricide, mais il n'a pas d'effet résiduel et ne fonctionne que dans l'eau filtrée. Encore à ses débuts, une nouvelle technologie impliquant une lumière super blanche.
2. Produits chimiques
- Le CHLORE est commun, bon marché, mais extrêmement toxique. Il ne diminue pas la contamination physique ou chimique, il augmente les formations de cholesterol, il est cancérigène et cause des maladies cardiaques.
- Le BROME, utilisé dans les piscines et les spas, n'a pas d'odeur ou de goût aussi mauvais et ne tue pas très bien les bactéries.
- L'IODE n'est pas pratique et est surtout utilisé par les campeurs.
- Le PEROXYDE D'HYDROGENE tue les bactéries avec de l'oxygène. Il est fabriqué chimiquement et est très toxique. Il est utilisé en cas d'urgence.
- L'argent est un bactéricide efficace mais un poison cumulatif qui se concentre et ne s'évapore pas.
- Les ACIDES ORGANIQUES NON TOXIQUES doivent être utilisés avec prudence dans les grandes usines aquatiques seulement.
- LIQUEURS ET AGENTS ALCALINS DOUXdevrait également être utilisé avec prudence seulement par les grandes usines d'eau, ou seulement pour la lessive.
- LES PRODUITS CHIMIQUES NEUTRALISANTS réagissent avec les produits chimiques indésirables et produisent des exsudats et un sédiment, mais les niveaux de besoins varient.
- La COAGULATION-FLOCCULATION ajoute des produits chimiques qui regroupent les particules en suspension pour la filtration ou la séparation.
- L'ECHANGE D'IONS échange le sodium du sel contre le calcium ou le magnésium, en utilisant de la glauconite (greensand), des résines organiques synthétiques précipitées ou de la zéolite gélifiée, ramollissant ainsi l'eau. Les minéraux, les métaux, les produits chimiques ou les odeurs ne sont pas affectés et l'eau est salée à boire.
3. Filtration
- Le filtre LENT à SABLE de 1 mètre cube passe environ 2 litres / min, et fait une élimination limitée des bactéries.
- Le SABLE DE PRESSION de 1 mètre cube passe environ 40gpm et doit être lavé tous les jours.
- La FILTRATION sur DIATOMEES élimine les petites particules en suspension à des débits élevés, doit être lavé à contre-courant tous les jours et coûte cher.
- Les filtres en PIERRE POREUSE / CÉRAMIQUE sont petits mais coûteux et n'influent pas sur les produits chimiques, les bactéries ou les odeurs.
- Les filtres PAPIER ou CHIFFONS sont jetables et filtrent à un micron, mais n'ont pas beaucoup de capacité.
- Le CHARBON :
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
- L'OSMOSE INVERSE utilise une membrane avec des trous microscopiques qui nécessitent 4 à 8 fois le volume d'eau traité pour le laver afin d'éliminer les minéraux et le sel, mais pas nécessairement les produits chimiques et les bactéries.
- Les ENZYMES et les BACTÉRIES combinées peuvent éliminer les contaminants, réduire les boues et même digérer l'huile. Voir l'article récent surenzymes et bactéries .
- Les PLANTES Il existe de nombreuses plantes, animaux et organismes qui filtrent efficacement l'eau.
4. L'oxydation
- L'AERATION pulvérise de l'eau dans l'air pour augmenter la teneur en oxygène, décompose les odeurs et équilibre les gaz dissous. Cependant, cela prend de l'espace, est coûteux et ramasse les contaminants de l'air.
- L'OZONE est un très bon bactéricide, utilisant des molécules d'oxygène hautement chargées pour tuer les microorganismes au contact, et pour oxyder et floculer le fer, le manganèse et d'autres minéraux dissous pour la post-filtration et le rétrolavage.
- La PURIFICATION ÉLECTRONIQUE et la PRODUCTION D'OXYGÈNE DISSOUS créent une eau super oxygénée à l'état dissous qui abaisse la tension superficielle de l'eau et traite efficacement les trois types de contamination : physique, chimique et biologique.
II. Les grandes familles de matériaux
I. Description de la matière
V. Caractérisation de la matière
IV. Façonnage et valorisation des matériaux
25 méthodes pour purifier l'eau
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
2. Produits chimiques
3. Filtration
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
4. L'oxydation
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
- la séparation,
- la filtration,
- les produits chimiques,
- l'oxydation.
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
- les particules,
- les bactéries,
- les minéraux,
- les produits chimiques et
- les produits pharmaceutiques.
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
- La sédimentation dépose par gravitation les matériaux lourds en suspension.
- L'eau bouillante pendant 15 à 20 minutes tue 99,9% de tous les êtres vivants et vaporise la plupart des produits chimiques. Les minéraux, les métaux, les solides et la contamination provenant du récipient de cuisson deviennent plus concentrés.
- La distillation bout et recondense l'eau, mais beaucoup de produits chimiques se vaporisent et se recondensent en concentration dans l'eau de sortie. Il est également coûteux de faire bouillir et refroidir l'eau.
- La lumière ultraviolette est un bon bactéricide, mais il n'a pas d'effet résiduel et ne fonctionne que dans l'eau filtrée. Encore à ses débuts, une nouvelle technologie impliquant une lumière super blanche.
2. Produits chimiques
- Le CHLORE est commun, bon marché, mais extrêmement toxique. Il ne diminue pas la contamination physique ou chimique, il augmente les formations de cholesterol, il est cancérigène et cause des maladies cardiaques.
- Le BROME, utilisé dans les piscines et les spas, n'a pas d'odeur ou de goût aussi mauvais et ne tue pas très bien les bactéries.
- L'IODE n'est pas pratique et est surtout utilisé par les campeurs.
- Le PEROXYDE D'HYDROGENE tue les bactéries avec de l'oxygène. Il est fabriqué chimiquement et est très toxique. Il est utilisé en cas d'urgence.
- L'argent est un bactéricide efficace mais un poison cumulatif qui se concentre et ne s'évapore pas.
- Les ACIDES ORGANIQUES NON TOXIQUES doivent être utilisés avec prudence dans les grandes usines aquatiques seulement.
- LIQUEURS ET AGENTS ALCALINS DOUXdevrait également être utilisé avec prudence seulement par les grandes usines d'eau, ou seulement pour la lessive.
- LES PRODUITS CHIMIQUES NEUTRALISANTS réagissent avec les produits chimiques indésirables et produisent des exsudats et un sédiment, mais les niveaux de besoins varient.
- La COAGULATION-FLOCCULATION ajoute des produits chimiques qui regroupent les particules en suspension pour la filtration ou la séparation.
- L'ECHANGE D'IONS échange le sodium du sel contre le calcium ou le magnésium, en utilisant de la glauconite (greensand), des résines organiques synthétiques précipitées ou de la zéolite gélifiée, ramollissant ainsi l'eau. Les minéraux, les métaux, les produits chimiques ou les odeurs ne sont pas affectés et l'eau est salée à boire.
3. Filtration
- Le filtre LENT à SABLE de 1 mètre cube passe environ 2 litres / min, et fait une élimination limitée des bactéries.
- Le SABLE DE PRESSION de 1 mètre cube passe environ 40gpm et doit être lavé tous les jours.
- La FILTRATION sur DIATOMEES élimine les petites particules en suspension à des débits élevés, doit être lavé à contre-courant tous les jours et coûte cher.
- Les filtres en PIERRE POREUSE / CÉRAMIQUE sont petits mais coûteux et n'influent pas sur les produits chimiques, les bactéries ou les odeurs.
- Les filtres PAPIER ou CHIFFONS sont jetables et filtrent à un micron, mais n'ont pas beaucoup de capacité.
- Le CHARBON :
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
- L'OSMOSE INVERSE utilise une membrane avec des trous microscopiques qui nécessitent 4 à 8 fois le volume d'eau traité pour le laver afin d'éliminer les minéraux et le sel, mais pas nécessairement les produits chimiques et les bactéries.
- Les ENZYMES et les BACTÉRIES combinées peuvent éliminer les contaminants, réduire les boues et même digérer l'huile. Voir l'article récent surenzymes et bactéries .
- Les PLANTES Il existe de nombreuses plantes, animaux et organismes qui filtrent efficacement l'eau.
4. L'oxydation
- L'AERATION pulvérise de l'eau dans l'air pour augmenter la teneur en oxygène, décompose les odeurs et équilibre les gaz dissous. Cependant, cela prend de l'espace, est coûteux et ramasse les contaminants de l'air.
- L'OZONE est un très bon bactéricide, utilisant des molécules d'oxygène hautement chargées pour tuer les microorganismes au contact, et pour oxyder et floculer le fer, le manganèse et d'autres minéraux dissous pour la post-filtration et le rétrolavage.
- La PURIFICATION ÉLECTRONIQUE et la PRODUCTION D'OXYGÈNE DISSOUS créent une eau super oxygénée à l'état dissous qui abaisse la tension superficielle de l'eau et traite efficacement les trois types de contamination : physique, chimique et biologique.
II. Les grandes familles de matériaux
I. Description de la matière
V. Caractérisation de la matière
IV. Façonnage et valorisation des matériaux
III. Caractériser et identifier les grandes familles de matériaux
I. Description de la matière
V. Caractérisation de la matière
IV. Façonnage et valorisation des matériaux
III. Caractériser et identifier les grandes familles de matériaux
25 méthodes pour purifier l'eau
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
2. Produits chimiques
3. Filtration
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
4. L'oxydation
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
- la séparation,
- la filtration,
- les produits chimiques,
- l'oxydation.
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
- les particules,
- les bactéries,
- les minéraux,
- les produits chimiques et
- les produits pharmaceutiques.
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
- La sédimentation dépose par gravitation les matériaux lourds en suspension.
- L'eau bouillante pendant 15 à 20 minutes tue 99,9% de tous les êtres vivants et vaporise la plupart des produits chimiques. Les minéraux, les métaux, les solides et la contamination provenant du récipient de cuisson deviennent plus concentrés.
- La distillation bout et recondense l'eau, mais beaucoup de produits chimiques se vaporisent et se recondensent en concentration dans l'eau de sortie. Il est également coûteux de faire bouillir et refroidir l'eau.
- La lumière ultraviolette est un bon bactéricide, mais il n'a pas d'effet résiduel et ne fonctionne que dans l'eau filtrée. Encore à ses débuts, une nouvelle technologie impliquant une lumière super blanche.
2. Produits chimiques
- Le CHLORE est commun, bon marché, mais extrêmement toxique. Il ne diminue pas la contamination physique ou chimique, il augmente les formations de cholesterol, il est cancérigène et cause des maladies cardiaques.
- Le BROME, utilisé dans les piscines et les spas, n'a pas d'odeur ou de goût aussi mauvais et ne tue pas très bien les bactéries.
- L'IODE n'est pas pratique et est surtout utilisé par les campeurs.
- Le PEROXYDE D'HYDROGENE tue les bactéries avec de l'oxygène. Il est fabriqué chimiquement et est très toxique. Il est utilisé en cas d'urgence.
- L'argent est un bactéricide efficace mais un poison cumulatif qui se concentre et ne s'évapore pas.
- Les ACIDES ORGANIQUES NON TOXIQUES doivent être utilisés avec prudence dans les grandes usines aquatiques seulement.
- LIQUEURS ET AGENTS ALCALINS DOUXdevrait également être utilisé avec prudence seulement par les grandes usines d'eau, ou seulement pour la lessive.
- LES PRODUITS CHIMIQUES NEUTRALISANTS réagissent avec les produits chimiques indésirables et produisent des exsudats et un sédiment, mais les niveaux de besoins varient.
- La COAGULATION-FLOCCULATION ajoute des produits chimiques qui regroupent les particules en suspension pour la filtration ou la séparation.
- L'ECHANGE D'IONS échange le sodium du sel contre le calcium ou le magnésium, en utilisant de la glauconite (greensand), des résines organiques synthétiques précipitées ou de la zéolite gélifiée, ramollissant ainsi l'eau. Les minéraux, les métaux, les produits chimiques ou les odeurs ne sont pas affectés et l'eau est salée à boire.
3. Filtration
- Le filtre LENT à SABLE de 1 mètre cube passe environ 2 litres / min, et fait une élimination limitée des bactéries.
- Le SABLE DE PRESSION de 1 mètre cube passe environ 40gpm et doit être lavé tous les jours.
- La FILTRATION sur DIATOMEES élimine les petites particules en suspension à des débits élevés, doit être lavé à contre-courant tous les jours et coûte cher.
- Les filtres en PIERRE POREUSE / CÉRAMIQUE sont petits mais coûteux et n'influent pas sur les produits chimiques, les bactéries ou les odeurs.
- Les filtres PAPIER ou CHIFFONS sont jetables et filtrent à un micron, mais n'ont pas beaucoup de capacité.
- Le CHARBON :
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
- L'OSMOSE INVERSE utilise une membrane avec des trous microscopiques qui nécessitent 4 à 8 fois le volume d'eau traité pour le laver afin d'éliminer les minéraux et le sel, mais pas nécessairement les produits chimiques et les bactéries.
- Les ENZYMES et les BACTÉRIES combinées peuvent éliminer les contaminants, réduire les boues et même digérer l'huile. Voir l'article récent surenzymes et bactéries .
- Les PLANTES Il existe de nombreuses plantes, animaux et organismes qui filtrent efficacement l'eau.
4. L'oxydation
- L'AERATION pulvérise de l'eau dans l'air pour augmenter la teneur en oxygène, décompose les odeurs et équilibre les gaz dissous. Cependant, cela prend de l'espace, est coûteux et ramasse les contaminants de l'air.
- L'OZONE est un très bon bactéricide, utilisant des molécules d'oxygène hautement chargées pour tuer les microorganismes au contact, et pour oxyder et floculer le fer, le manganèse et d'autres minéraux dissous pour la post-filtration et le rétrolavage.
- La PURIFICATION ÉLECTRONIQUE et la PRODUCTION D'OXYGÈNE DISSOUS créent une eau super oxygénée à l'état dissous qui abaisse la tension superficielle de l'eau et traite efficacement les trois types de contamination : physique, chimique et biologique.
II. Les grandes familles de matériaux
V. Caractérisation de la matière
IV. Façonnage et valorisation des matériaux
III. Caractériser et identifier les grandes familles de matériaux
25 méthodes pour purifier l'eau
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
2. Produits chimiques
3. Filtration
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
4. L'oxydation
Il existe 25 méthodes pour purifier l'eau, réparties en 4 catégories :
- la séparation,
- la filtration,
- les produits chimiques,
- l'oxydation.
Il existe 5 types de contaminants dans l'eau :
- les particules,
- les bactéries,
- les minéraux,
- les produits chimiques et
- les produits pharmaceutiques.
Les méthodes pour éliminer ces éléments vont de simples et peu coûteux à élaborés et coûteux.
Souvent, pour obtenir de l'eau purement potable, plusieurs technologies doivent être combinées dans une séquence particulière.
Voici une brève description générale des vingt-cinq méthodes pour purifier l'eau.
1. Séparation : chaleur, lumière et gravité
- La sédimentation dépose par gravitation les matériaux lourds en suspension.
- L'eau bouillante pendant 15 à 20 minutes tue 99,9% de tous les êtres vivants et vaporise la plupart des produits chimiques. Les minéraux, les métaux, les solides et la contamination provenant du récipient de cuisson deviennent plus concentrés.
- La distillation bout et recondense l'eau, mais beaucoup de produits chimiques se vaporisent et se recondensent en concentration dans l'eau de sortie. Il est également coûteux de faire bouillir et refroidir l'eau.
- La lumière ultraviolette est un bon bactéricide, mais il n'a pas d'effet résiduel et ne fonctionne que dans l'eau filtrée. Encore à ses débuts, une nouvelle technologie impliquant une lumière super blanche.
2. Produits chimiques
- Le CHLORE est commun, bon marché, mais extrêmement toxique. Il ne diminue pas la contamination physique ou chimique, il augmente les formations de cholesterol, il est cancérigène et cause des maladies cardiaques.
- Le BROME, utilisé dans les piscines et les spas, n'a pas d'odeur ou de goût aussi mauvais et ne tue pas très bien les bactéries.
- L'IODE n'est pas pratique et est surtout utilisé par les campeurs.
- Le PEROXYDE D'HYDROGENE tue les bactéries avec de l'oxygène. Il est fabriqué chimiquement et est très toxique. Il est utilisé en cas d'urgence.
- L'argent est un bactéricide efficace mais un poison cumulatif qui se concentre et ne s'évapore pas.
- Les ACIDES ORGANIQUES NON TOXIQUES doivent être utilisés avec prudence dans les grandes usines aquatiques seulement.
- LIQUEURS ET AGENTS ALCALINS DOUXdevrait également être utilisé avec prudence seulement par les grandes usines d'eau, ou seulement pour la lessive.
- LES PRODUITS CHIMIQUES NEUTRALISANTS réagissent avec les produits chimiques indésirables et produisent des exsudats et un sédiment, mais les niveaux de besoins varient.
- La COAGULATION-FLOCCULATION ajoute des produits chimiques qui regroupent les particules en suspension pour la filtration ou la séparation.
- L'ECHANGE D'IONS échange le sodium du sel contre le calcium ou le magnésium, en utilisant de la glauconite (greensand), des résines organiques synthétiques précipitées ou de la zéolite gélifiée, ramollissant ainsi l'eau. Les minéraux, les métaux, les produits chimiques ou les odeurs ne sont pas affectés et l'eau est salée à boire.
3. Filtration
- Le filtre LENT à SABLE de 1 mètre cube passe environ 2 litres / min, et fait une élimination limitée des bactéries.
- Le SABLE DE PRESSION de 1 mètre cube passe environ 40gpm et doit être lavé tous les jours.
- La FILTRATION sur DIATOMEES élimine les petites particules en suspension à des débits élevés, doit être lavé à contre-courant tous les jours et coûte cher.
- Les filtres en PIERRE POREUSE / CÉRAMIQUE sont petits mais coûteux et n'influent pas sur les produits chimiques, les bactéries ou les odeurs.
- Les filtres PAPIER ou CHIFFONS sont jetables et filtrent à un micron, mais n'ont pas beaucoup de capacité.
- Le CHARBON :
- Le CHARBON GRANULÉ est moins cher, mais l'eau peut circuler autour des granules sans être traitée.
- Le POUDRE DE CHARBON est une poussière très fine utile pour nettoyer les grandes étendues d'eau, mais est salissante et peut passer à travers certains filtres et être consommé.
- L'OSMOSE INVERSE utilise une membrane avec des trous microscopiques qui nécessitent 4 à 8 fois le volume d'eau traité pour le laver afin d'éliminer les minéraux et le sel, mais pas nécessairement les produits chimiques et les bactéries.
- Les ENZYMES et les BACTÉRIES combinées peuvent éliminer les contaminants, réduire les boues et même digérer l'huile. Voir l'article récent surenzymes et bactéries .
- Les PLANTES Il existe de nombreuses plantes, animaux et organismes qui filtrent efficacement l'eau.
4. L'oxydation
- L'AERATION pulvérise de l'eau dans l'air pour augmenter la teneur en oxygène, décompose les odeurs et équilibre les gaz dissous. Cependant, cela prend de l'espace, est coûteux et ramasse les contaminants de l'air.
- L'OZONE est un très bon bactéricide, utilisant des molécules d'oxygène hautement chargées pour tuer les microorganismes au contact, et pour oxyder et floculer le fer, le manganèse et d'autres minéraux dissous pour la post-filtration et le rétrolavage.
- La PURIFICATION ÉLECTRONIQUE et la PRODUCTION D'OXYGÈNE DISSOUS créent une eau super oxygénée à l'état dissous qui abaisse la tension superficielle de l'eau et traite efficacement les trois types de contamination : physique, chimique et biologique.
II. Les grandes familles de matériaux
I. Description de la matière
III.1. Comment et pourquoi les appareils photo (ou un autre objet technique) ont-ils évolué ?
III. Evolution d'un objet technique
Pour satisfaire ses besoins, l'homme conçoit des produits.
L'homme a des besoins à satisfaire comme par exemple : se loger, se nourrir, se déplacer, se distraire, ...
II. Utilisation des objets
OBJET TECHNIQUE :
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
OBJET NATUREL :
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
I. Nature et besoins des objets techniques
• La fonction d’usage d’un objet technique répond à la question : à quoi sert cet objet technique ?
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
IV. Fonction d'usage, fonction d'estime
Pour satisfaire ses besoins, l'homme conçoit des produits.
L'homme a des besoins à satisfaire comme par exemple : se loger, se nourrir, se déplacer, se distraire, ...
II. Utilisation des objets
OBJET TECHNIQUE :
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
OBJET NATUREL :
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
I. Nature et besoins des objets techniques
• La fonction d’usage d’un objet technique répond à la question : à quoi sert cet objet technique ?
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
IV. Fonction d'usage, fonction d'estime
III.1. Comment et pourquoi les appareils photo (ou un autre objet technique) ont-ils évolué ?
III. Evolution d'un objet technique
OBJET TECHNIQUE :
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
Un objet est dit technique lorsqu'il a été réalisé ou modifié par l'homme
OBJET NATUREL :
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
Un objet est dit naturel lorsqu'il n'a pas été modifié par l'homme
I. Nature et besoins des objets techniques
• La fonction d’usage d’un objet technique répond à la question : à quoi sert cet objet technique ?
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
• La fonction d’estime correspond aux goûts et aux différents ressentis d’un utilisateur envers un objet technique. Elle répond à la question : est ce que l’objet me plait et pourquoi il me plait ?
• La fonction d’estime peut dépendre de plusieurs critères : de l’esthétique de l’objet, des fonctions techniques qu’il remplit, du prix, de l’image qu’il peut renvoyer à l’utilisateur ou des besoins de l’utilisateur.
• L’esthétique est tout ce qui est relatif à la beauté.
IV. Fonction d'usage, fonction d'estime
III.1. Comment et pourquoi les appareils photo (ou un autre objet technique) ont-ils évolué ?
III. Evolution d'un objet technique
Pour satisfaire ses besoins, l'homme conçoit des produits.
L'homme a des besoins à satisfaire comme par exemple : se loger, se nourrir, se déplacer, se distraire, ...
II. Utilisation des objets
IV. Fonction d'usage, fonction d'estime
III.1. Comment et pourquoi les appareils photo (ou un autre objet technique) ont-ils évolué ?
III. Evolution d'un objet technique
Pour satisfaire ses besoins, l'homme conçoit des produits.
L'homme a des besoins à satisfaire comme par exemple : se loger, se nourrir, se déplacer, se distraire, ...